La belle histoire de l’art contemporain à l’Hôtel des Marronniers se poursuit! En effet, cette année et pour la 3ème fois, notre établissement participe au Parcours Saint-Germain. L’événement a pour but de présenter des oeuvres d’arts dans différents lieux de ce quartier mythique. L’occasion de renouer avec l’âme artistique germanopratine. Ainsi, cafés, boutiques, hôtels, … prennent part à cette Edition 2018.
 

Art Contemporain à l'Hôtel des Marronniers
Art Contemporain à l’Hôtel des Marronniers
 
L’art contemporain à l’Hôtel des Marronniers pourrait étonner lorsqu’on connaît l’ambiance parisienne traditionnelle qui règne en nos murs. Mais quand l’artiste dispose ses oeuvres dans le jardin et le salon de l’hôtel, tout prend place et l’ensemble fait sens.
 
Cette année, c’est Stefan Nikolaev qui nous fait l’honneur d’investir les lieux. Il présente 3 oeuvres bien distinctes, à découvrir tout d’abord devant la réception, puis en extérieur. Un superbe banc en bronze, et non en bois comme on pourrait le penser, domine la véranda depuis la terrasse. A l’avant du jardin, il semble avoir trouvé sa place naturelle. Tout au fond du jardin, c’est un superbe candélabre qui illumine la pergola et ses petits salons. On déambule ainsi au milieu des oeuvres totalement inscrites dans le décor. On oublie qu’il s’agit d’un dépôt éphémère tant elles s’imprègnent de l’environnement.
 
Ce soir, pour l’ouverture du Parcours Saint-Germain, et comme tous les lieux participants, l’Hôtel des Marronniers organise un vernissage entre 18h00 et 21h00. L’artiste Stefan Nikolaev sera présent pour discuter de son travail et rencontrer les amateurs du parcours. Ensuite, muni d’une carte, chaque visiteur pourra se rendre dans les différents lieux pour le vernissage, comme chez notre voisin, l’Hôtel des 2 Continents qui accueille l’artiste Luke James, et pendant les 10 jours suivants puisque l’événement prendra fin le 10 juin.
 
Finalement l’Art Contemporain à l’Hôtel des Marronniers poursuit son histoire et c’est toujours avec beaucoup de plaisir que nous en écrivons la trame.